[Média] Simon Béot dresse le bilan «sportif» de la première année de MENTAL!

Publié le 29/11/2018

Le vendredi 13 octobre 2017 paraissait le premier numéro de MENTAL!, le magazine sportif luxembourgeois. Une date qui a sans doute porté chance à son fondateur Simon Béot puisqu’un an plus tard, ce sont déjà 5 numéros et 2 hors-série qui ont vu le jour (le numéro 6 entre en phase de bouclage, il paraitra le 14 décembre, ndlr). Chez adada, on aime la pub mais on aime aussi les magazines (et puis le sport aussi, si si c’est vrai), alors on a suivi de près cette aventure, depuis le début. Un an plus tard, on s’est donc invité une nouvelle fois dans ses bureaux au 1535°, entre deux réunions et deux canettes de boissons énergisantes, pour poser quelques questions à un Simon Béot à fond, mais loin d’être essoufflé.

Un an après le début de l’aventure, les bureaux se sont bien remplis. Peux-tu nous présenter ton équipe?

Je ne suis plus seul, nous sommes quatre dorénavant et un cinquième nous rejoint en janvier. D’abord, côté rédaction, Yannis Bouaraba, qui m’accompagne depuis le lancement, a tout naturellement été la première personne employée. Il sera accompagné dans les prochaines semaines par Thibaut Goetz qui travaille en freelance avec nous depuis septembre. J’en profite pour mentionner les journalistes en freelance qui sont là depuis le début pour certains et qui ont largement contribué à notre bon démarrage: Jocelin Maire, Clémence Hubert et Anne Claire Delval pour la rédaction, mais aussi à Olivier Minaire pour la partie photo. Depuis quelques semaines, Stéphanie Philippot nous a rejoints pour prendre la direction commerciale. Elle est épaulée depuis peu par Stéphane Szylar, account manager recruté il y a quelques jours.

« Les licenciés sportifs représentent à eux-seuls 135.000 personnes au Luxembourg, et pour le coup nous savons où ils se trouvent et où ils s’entraînent! »

Avec les valeurs du sport portées par le magazine, et alors que le sixième numéro sortira en décembre, les annonceurs sont-ils fidèles au rendez-vous?

Ils sont fidèles et de plus en plus nombreux. En 13 mois et 6 numéros, ce sont 58 annonceurs différents qui nous ont fait confiance. Nous avons encore une grande marge de progression et nous travaillons avec beaucoup de passion pour en convaincre davantage. Nous avons la chance de parler de sport, et le sport est un des domaines les plus porteurs et vendeurs dans tous les pays européens nous entourant. Notre bon démarrage nous indique que cela doit pouvoir également être le cas au Grand-Duché. Nous recevons de nombreux messages de sportifs et de lecteurs qui se disent ravis de suivre enfin l’actualité sportive du pays. C’est encourageant. Nous suivons tous les sportifs, et tous les sports qui se pratiquent au Luxembourg. Imaginez-vous, les licenciés sportifs représentent à eux-seuls 135.000 personnes et pour le coup nous savons où ils se trouvent et où ils s’entrainent! Ajoutez à cela toutes les personnes qui entourent les licenciés, ça en fait du monde à qui raconter de belles histoires sportives. Notre audience DOIT être large. Nous travaillons en conséquence.

Le business model de MENTAL! est-il basé uniquement sur les revenus publicitaires, ou également sur les abonnements payants?

À 90%, nous dépendons des revenus publicitaires, les 10% restants sont effectivement la vente de nos magazines à l’unité en kiosque mais aussi la vente d’abonnements via notre site. Depuis l’édition 3, nos chiffres de ventes ne cessent de progresser, mais ils sont encore marginaux. La priorité est de trouver un équilibre entre le nombre de magazines «offerts» qui permettent d’obtenir une visibilité importante (surtout au moment du lancement) et la vente. Surtout, nous voulons que MENTAL! pénètre les foyers luxembourgeois, circule dans la famille, et soit lu confortablement. Pour nos équipes, c’est très gratifiant de savoir que notre magazine âgé d’à peine un an est déjà distribué dans plus de 2.000 boites aux lettres privées. Pour l’instant, nous sommes à 90/10, nous avons encore du pain sur la planche pour équilibrer mais nous avançons step-by-step. Notre objectif est de se rapprocher des 20% de vente vers les privés fin 2019. Une stratégie est mise en place et des actions sont entreprises pour développer ce mode de diffusion le plus rapidement et le plus efficacement possible.

« Nous nous adressons à de nombreuses communautés issues de près de 60 sports différents. »

Le site internet a lui aussi évolué, avec un traitement plus intense de l’actualité sportive «chaude». Comment se portent les audiences?

Effectivement, nous avons augmenté la cadence, ce qui est lié évidemment au recrutement de nos rédacteurs. Nous sommes passés de 3 articles par semaines à près d’une douzaine. Mécaniquement, nos audiences ont donc augmentées. Notre ligne éditoriale est claire, nous traitons tous les sports de façon équitable, le foot comme l’athlétisme, la gymnastique comme le tennis ou la natation. Et de ce fait, nous nous adressons à de nombreuses communautés issues de près de 60 sports différents. Le site mental.lu a 11 mois d’existence et pour l’instant, nous comptabilisions plus de 32.000 visiteurs uniques depuis le lancement et sommes en moyennes à plus de 2.500 pages vues par semaine.

Deux hors-série, GUIDON! et VROOM!, sont également parus en kiosque ces derniers mois. Après le vélo et les sports mécaniques, c’est quoi le prochain?

Nos hors-série sont toujours très bien accueillis. Le futur petit frère s’appellera SWING! et sera dédié aux férus de golf. Il paraîtra le 15 mars 2019.

Pour communiquer dans le prochain numéro de MENTAL! réservez vos espaces publicitaires avant le 06.12.2018. Contactez Simon Béot au +352 661 650 652 ou par mail à simon.beot@mental.lu.